Jour après jour, le relais de la Flamme

  • Mis à jour le 29/06/2024
  • Actualités du ministère
  • Publié le 23/05/2024

Après une entrée spectaculaire dans le Vieux-Port de Marseille le 8 mai 2024, la Flamme Olympique a commencé son parcours à travers la France. D’ici le 26 juillet, jour de l’arrivée à Paris, elle va traverser plus de 450 villes dans 65 territoires dont 5 ultramarins. Les préfectures concernées sont au rendez-vous pour accueillir et sécuriser cet événement. Sous le regard attentif des forces de sécurité intérieure, 10 000 porteurs de la Flamme Olympique sont engagés dans cette aventure. Retrouvez ici chaque jour le parcours de la Flamme à travers les départements, vu de l’Intérieur !

L'étape du jour

29 juin 2024 : étape 44 dans la Meuse

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Toutes les étapes passées

La Flamme olympique était en Haute-Marne pour sa 42e étape. 

Tout au long de la journée, pas moins de 117 relayeurs se sont transmis la torche et ont traversé des lieux emblématiques du département.

La Flamme a fini son parcours à Saint-Dizier où Axel Clerget, judoka champion olympique, a allumé le chaudron en présence de Régine Pam, préfète de la Haute-Marne.

La Moselle a accueilli la Flamme Olympique avec ferveur, de Meisenthal à Metz en passant par Sarreguemines ! Policiers, gendarmes, pompiers, services de l’État, collectivités, agents de sécurité privée, bénévoles, tous étaient mobilisés sur le chemin de la Flamme. Retrouvez ici les coulisses de la sécurisation sur cette étape !

Pour sa 41ème étape, la Flamme olympique a parcouru le Haut-Rhin et le Bas-Rhin en une seule journée, franchissant même la frontière franco-allemande.

À quelques pas de la Suisse, deux relayeurs français et allemands se sont transmis la torche. Un beau symbole de l'unité et de l'esprit de fraternité entre les pays !

Grâce à la mobilisation des forces de sécurité intérieure, cette journée a pu se dérouler dans un atmosphère festive.

La Flamme Olympique s'est élancée de Pontarlier, à 800 mètres d'altitude, pour terminer la journée à Besançon. Sur le parcours, à Chaux-Neuve, le préfet est allé à la rencontre des spectateurs. À chaque étape, les services de l'État veillent au bon déroulement de ce moment festif et populaire. Ils peuvent aussi être acteurs de l'événement comme ici pour Mylène Dhote, cheffe du centre de secours de Mouthe qui a eu l'honneur de faire partie des porteurs de la Flamme.

1924 : Chamonix accueillait les Jeux Olympiques. Un siècle plus tard, retour en Haute-savoie pour la Flamme Olympique. D'Évian-les-Bains à Chamonix-Mont-Blanc en passant par le plateau des Glières, haut lieu de la résistance pendant la seconde guerre mondiale, toutes les forces de sécurité étaient mobilisées pour cet événement populaire et historique ! 

La 38ème étape du Relais de la Flamme s’est déroulée dans la Loire le samedi 22 juin.

Plus de 1500 personnes étaient mobilisées pour assurer la sécurité de l'évènement dans la Loire, incluant les forces de sécurité intérieure, le service départemental d’incendie et de secours, des bénévoles, la sécurité privée, et des associations agréées de sécurité civile.

Ophélie Riffard, agent de la préfecture de la Loire, a eu la chance de faire partie des relayeurs sélectionnés et ainsi représenter les service de l’État dans ce relais. Découvrez son interview ici.

La Flamme a continué son parcours dans le département de l’Allier pour la 37ème étape du relais, qui s’est achevée à Vichy avec les célébrations de la fête de la musique.

Julien Perrin, ancien motocycliste de la Gendarmerie nationale blessé en service, a été sélectionné pour porter la Flamme lors cette étape.

Lumière sur le patrimoine de la Drôme de Grignan à Valence en passant par Montélimar ! Pour garantir une sécurité optimale sur et aux abords du parcours, le centre opérationnel départemental a été activé par le préfet dès le départ de relais.

La Flamme a poursuivi son parcours dans le Vaucluse. Des carrières d’ocre de Russel à Avignon en passant par le sommet du Mont Ventoux, l’ensemble des forces de sécurité et des agents de la préfecture ont été engagés pour la sécurisation du relai.

Après un Relais dans les Outre-mer, la Flamme Olympique était de retour dans l’Hexagone. Pour marquer ce retour, elle a été remontée des profondeurs de l’océan par l’apnéiste Alice Modolo dans la rade de Villefranche-sur-Mer. Grasse, Cannes, Monaco, Nice : comme chaque fois, l'étape s'est ensuite déroulée sous le regard attentif des forces de sécurité.

Du sommet de la Montagne pelée à Fort-de-France, la Flamme Olympique a traversé la Martinique. Sur terre et sur mer, les sapeurs-pompiers étaient présents pour assurer la protection de cette étape. Lumière sur Leelou Martial-Ehoulet, sapeur-pompier professionnel au sdis972 et gardienne de la Flamme Olympique !

Pour cette 32ème étape, le relais des océans s’est arrêté en Guadeloupe. La Flamme a rayonné de la Pointe des châteaux jusqu'au CREPS Antilles-Guyane en passant par Basse Terre et le Moule.
Un relais exceptionnel qui a mobilisé plus de 450 gendarmes et plus de 260 policiers.

Pour cette 31ème étape, la Flamme a pris la direction de la Polynésie française, où se tiendront cet été les épreuves de surf.

Durant cette étape, la Flamme a voyagé à bord d’une pirogue avec Vahine Fierro, championne de surf qualifiée pour les Jeux Olympiques. Mahanatea, agent du Haut-commissariat de la République en Polynésie française, a également eu l’honneur de porter la Flamme, tout comme Emmanuelle, policière, et Teihotuaet, gendarme.

Après une journée rythmée par les percussions et les chants polynésiens, cette étape du Relais de la Flamme s’est achevée à Papeete.

De Saint-Paul à Saint-Denis, la Flamme Olympique a parcouru les sentiers de La Réunion. Parmi les gardiens qui veillent sur elle, le brigadier-chef Najim, policier depuis 25 ans, formateur aux techniques et à la sécurité en intervention. Chaque jour, les forces de sécurité intérieure protègent la Flamme Olympique.

Étant donné la situation exceptionnelle en Nouvelle Calédonie, Paris 2024, en concertation avec le ministère de l'Intérieur et des Outre-mer, a décidé d’annuler l'étape du Relais de la Flamme Olympique initialement prévue.

Après avoir traversé l’océan Atlantique, le relais de la Flamme se poursuit en Guyane.

La Flamme a d'abord navigué sur le fleuve Oyapock en pirogue, puis s'est arrêtée au Centre de contrôle Jupiter d'EuropeSpacePort avant de se rendre à Cayenne pour la fin de sa journée.

Pour cette nouvelle étape en Bretagne, le relais de la Flamme a traversé le Finistère avec pour destination finale Brest, « la capitale des océans ». Avant de partir pour les Outre-mer et d’entamer le relais des Océans, la Flamme a surfé sur la plage de La Torche avant de prendre de la hauteur sur le Mont Saint-Michel-de-Brasparts. Les forces du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer, pleinement mobilisées, ont reçu la visite du préfet du Finistère qui a tenu à les saluer pour le bon déroulement de cet événement populaire.

Beaucoup de ferveur sur le trajet de la Flamme Olympique, de Lorient à Vannes en passant par l'Île-aux-Moines. Les services de l'État étaient pleinement mobilisés pour assurer la sécurité tout au long de cette journée du relais dans le Morbihan.

De Saint-Sébastien-sur-Loire à La Baule-Escoublac, les forces de sécurité étaient présentes pour sécuriser le relais de la Flamme Olympique dans les Pays-de-la-Loire et la Loire-Atlantique. Une intrusion dans la bulle de sécurité qui entoure le porteur de la Flamme Olympique a exceptionnellement été autorisée afin de permettre à l'un d'entre eux de déclarer sa flamme. En effet, Raphaël, porteur de la Flamme à Saint-Sébastien-sur-Loire a profité de ce moment unique pour organiser sa demande en mariage sous l’œil attentif des runners (policiers et gendarmes constituant le cordon de sécurité habituellement impénétrable).
 

L'étape 24 a commencé par une route accessible uniquement à marée basse : le passage du Gois qui relie l’île de Noirmoutier à la côte vendéenne. Jusqu'aux Sables d'Olonne où le chaudron a été allumé en fin de journée, en passant par le Puy-du-Fou qui accueille plus de 2 millions de visiteurs chaque année, les forces du ministère de l'Intérieur et des Outre-mer étaient présentes pour sécuriser l'événement dans une ambiance joyeuse et festive. 277 sapeurs-pompiers de la Vendée étaient notamment mobilisés.

Top départ au château des Ducs de La Trémoïlle à Thouars ! La Flamme Olympique a ensuite parcouru les chemins des Deux-Sèvres jusqu'à Niort, au cœur du parc naturel régional du Marais poitevin. Lumière sur un département au riche patrimoine historique. 

Des remparts de Saint-Malo à Rennes, l'ensemble des services de l'État était mobilisé pour que cette étape se déroule dans les meilleurs conditions. Dès 6h15, les membres du centre opérationnel départemental ont travaillé sous le regard de Phryge, la mascotte des Jeux Olympiques. Les sapeurs-pompiers d’Ille-et-Vilaine ont eu le privilège de transporter la Flamme Olympique en aéroglisseur !
 

Coup de projecteur sur le département de la Manche. Les relayeurs ont porté la Flamme Olympique de Cherbourg-en-Cotentin jusqu'au Mont-Saint-Michel. Tout au long de la journée, les forces de sécurité étaient mobilisées pour sécuriser cette grande fête populaire qui a rassemblé des milliers de personnes dans un cadre exceptionnel connu du monde entier.

De Caen aux mythiques plages du Débarquement, la Flamme a fait étape dans un département chargé d'histoire à l'aube des 80 ans de la Libération. Le long du parcours et en centre opérationnel, les agents des services de l'État étaient pleinement mobilisés pour la sécurité de la Flamme et des populations.

De Château-Gontier-sur-Mayenne à Laval, la Flamme a poursuivi son chemin sur les routes de la Mayenne. Le centre opérationnel départemental (COD) était dans les startings-blocks dès 7h30 pour que cette journée se déroule dans les meilleures conditions.

6 étapes à travers le Maine-et-Loire, de Baugé-en-Anjou à Angers, c’était le programme du relais de la Flamme Olympique, le 28 mai : Vanina Paoletti, policière adjointe kayakiste, sélectionnée pour Paris2024, a notamment porté la Flamme : une flamme sécurisée grâce à la mobilisation de tous les acteurs de la sécurité : gendarmes, policiers nationaux et municipaux, sapeurs-pompiers, militaires de l'opération Sentinelle, démineurs, sécurité privée et associations sécurité civile.

Après une courte pause, c’est dans l’Indre que la Flamme Olympique a repris son parcours. Elle a traversé 9 communes grâce aux 96 porteurs mobilisés. Parmi eux, Emmanuel, sapeur-pompier dans le département !
 
Tout au long de son parcours, la Flamme a mis en lumière les richesses culturelles et naturelles de l’Indre, le tout sous la protection de plus de 1 200 forces de sécurité intérieure.

Samedi 25 mai, la Flamme Olympique a entrepris un voyage à travers le temps débutant à Loudun devant une Tour Carrée du XIème siècle pour finir sa course à l'Arena futuriste du Furturoscope.
Parmi la centaine de porteurs de la flamme, Baptiste Redon, responsable sécurité des systèmes d'information au commissariat de Poitiers a fait honneur à l'ensemble de ses collègues policiers et gendarmes mobilisés pour assurer la sécurité du parcours. Avec près de 42 000 spectateurs sur le parcours, l'étape viennoise a été très suivie.

Vendredi 24 mai, la Flamme a traversé la Charente et ses terres historiques, culturelles et sportives :  De Barbezieux-Saint-Hilairie à Angoulême, retrouvez en images la mobilisation des services du ministère en Charente tout au long de cette 15ème étape !

Jeudi 23 mai, la Flamme a sillonné la Gironde : Libourne, le lac des Dagueys, les vignes girondines jusqu'à la place des Quinconces, à Bordeaux. Le préfet a salué les forces de l'ordre mobilisées sur tout le tracé du relais.

Mercredi 22 mai, un public impatient attendait la Flamme Olympique sur les routes de Dordogne, de Bergerac à Périgueux. Plusieurs temps forts ont marqué l'étape périgourdine, notamment le passage par les grottes de Lascaux et l'École nationale de police. 

Le 21 mai, la Flamme Olympique a fait une pause... et un détour par le Festival de Cannes. Tapis rouge et montée des marches pour une Flamme haute en couleur.

Lire le post d'Hélène Géronimi, responsable des grands événements à la coordination nationale pour la sécurité des Jeux (CNSJ).

De Biarritz à Pau en passant par Anglet et Saint-Jean-de-Luz, la Flamme a sillonné le département des Pyrénées-Atlantiques, le 20 mai 2024. De nombreuses festivités étaient organisées en fin de journée devant le Palais Beaumont, le palais des congrès de la ville, où a eu lieu la cérémonie de l'allumage du chaudron. Dès 7 heures du matin, le préfet avait activé le centre opérationnel départemental qui rassemblait tous les services de sécurité pour que cette journée festive se déroule dans les meilleures conditions.

Pour sa 11ème étape, la Flamme Olympique était dans les Hautes-Pyrénées où elle a entamé son parcours dans un lieu au panorama spectaculaire : le sommet du Pic du Midi.

Lourdes, cirque de Gavarnie, lac de l’Arrêt-Darré… tout au long de la journée, elle a traversé de nombreux lieux incontournables du département à pieds, en kayak et même… en VTT ! De quoi maintenir les runners de la bulle de sécurité en haleine pour la protéger.

En raison des fortes pluies, le préfet a pris la décision de déplacer l’allumage du chaudron olympique en intérieur à Tarbes, pour la sécurité de tous. Cela n’a pas empêché le bon déroulement des festivités dans le département, où les spectateurs sont venus nombreux pour admirer la Flamme !

La Flamme Olympique était dans le Gers pour la dixième étape de son parcours. Elle a traversé les communes de L’Isle-Jourdain, Mirande, Fleurance, Marciac, Condom, Nogaro avant de finir son chemin à Auch. Tout au long de la journée, 136 relayeurs ont porté la torche devant les nombreux gersois venus pour l’occasion.

Pour assurer la sécurisation de cette journée exceptionnelle, près de 1 300 policiers et gendarmes étaient mobilisés.

La Flamme Olympique a démarré son parcours en Haute-Garonne à Revel. Elle a été accueillie par Dominique Faure, ministre déléguée chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité.

Les porteurs de la Flamme se sont succédé tout au long de la journée. Parmi eux Cécile, agente de la préfecture de la Haute-Garonne, a eu le privilège d'effectuer un relais.

La Flamme a terminé sa course en fin de journée dans l'enceinte du Stade toulousain où Antoine Dupont, capitaine du XV de France, a allumé le chaudron. Une journée de fête qui s’est bien déroulée notamment grâce au travail des forces de sécurité intérieure !

La Flamme s’est dirigée vers l’Aude pour cette 8ème étape du relais. Durant cette étape, la Flamme a pris de la hauteur lors de son passage au château de Peyrepertuse, perché sur une crête de près de 800 mètres d’altitude, d’où elle est descendue en tyrolienne !

En tout, ce sont plus de 45 000 spectateurs et 1 000 policiers et gendarmes qui ont accompagné son passage, qui s’est achevé dans la cité médiévale de Carcassonne.

La Flamme a démarré cette 7ème étape dans le parc des sports de Perpignan. Plus de 1000 policiers, gendarmes et agents des polices municipales des villes traversées par le relais étaient mobilisés pour assurer la sécurité de tous. Cette journée s'est terminée en beauté avec l’allumage du chaudron dans l'enceinte du Palais des Rois de Majorque. Le préfet, Thierry Bonnier a remercié les policiers engagés sur le terrain, les sapeurs-pompiers du service départemental d'incendie et de secours (SDIS), les équipes du centre de déminage 34 et les équipes cynophiles de la direction interdépartementale de la Police nationale 31 pour leur mobilisation lors de cette journée exceptionnelle et festive. 
 

Trente-deux ans après avoir foulé le sol de l’île lors des Jeux Olympiques d’hiver de 1992, la Flamme Olympique était de retour mardi sur les chemins de la Corse du Sud et de la Haute Corse. De Bastia à Ajaccio, les policiers locaux étaient fiers de sécuriser l’événement. Près de 120 porteurs ont ainsi mis en lumière les beautés naturelles de l’île. La Flamme a fait halte à la préfecture de Corse avant de rejoindre la place des Cannes.

Toujours sous le soleil de la Méditerranée, la Flamme a pris de la hauteur lors de cette cinquième étape en traversant le viaduc de Millau de bon matin ! Un challenge pour les runners de la bulle de sécurité qui ont dû tenir la cadence avec le porteur Taïg Kris, triple champion du monde de roller qui s’est élancé sur le viaduc en roller. La Flamme a ensuite rejoint Montpellier en passant par Sète. À l’occasion d’un dispositif exceptionnel, la Police nationale était présente sur l’ensemble du parcours.

Sur terre, en mer et dans les airs, les gendarmes de l’Hérault étaient tous mobilisés et engagés.

Après une première étape à Marseille le 9 mai, détour cette fois par les autres sites emblématiques du département, de Cassis à Arles. Miramas, Aix-en-Provence, Port-Saint-Louis-du-Rhône et son magnifique panorama sur la Camargue, Istres, Eygalières : plus de 140 porteurs de la Flamme ont mis en lumière les merveilles de la nature et du patrimoine de ce territoire.
Grâce notamment à la mobilisation des forces de sécurité intérieure et des associations de sécurité civile, cette journée s’est déroulée sans aucun incident.

Après un début de journée dans le Verdon, sous les falaises qui dominent Moustiers-Sainte-Marie, la Flamme a parcouru Sisteron, Digne-les-Bains, Forcalquier, et Barcelonnette avant d’arriver à Manosque. Parmi les 107 porteurs de la journée, Monia Choretier, caporale de sapeurs-pompiers au Service départemental d'incendie et de secours (SDIS) 04 a porté la flamme. 

Après une première étape à Marseille, le département des Bouches-du-Rhône a passé le relais au Var. Le 10 mai, plus de 120 porteurs de la Flamme se sont relayés pour cette deuxième étape, de Saint-Raphaël à Toulon, du littoral à l’intérieur des terres.
Plus de 2 000 effectifs ont été déployés pour assurer la sécurité de tous : 1440 policiers et gendarmes dont 594 effectifs départementaux et 13 unités de forces mobiles ; 245 policiers municipaux ; 197 pompiers et secouristes ; 122 agents de sécurité privée ; des embarcations de la gendarmerie maritime et des douanes ; des militaires.

À découvrir ici le relais de la Flamme sous le regard des policiers du Var.

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